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MÊME LES EXTINCTEURS RÊVENT DE GLOIRE

 

Même les extincteurs rêvent de gloire est tour à tour drolatique,

poétique et noir, à l’image de son antihéros, obscur écrivain sans le sou. Ça pourrait être déprimant, mais c’est un antidépresseur qui n’a rien de générique. Certes, le protagoniste, Arthur, est dans la dèche, mais il est riche des divagations de sa gamine, du soutien sans réserve de sa femme et de sa capacité à poétiser le réel.

Arthur Zingaro a été dresseur d’autruches en Afrique de l’Ouest, travailleur social et chômeur asocial. Il réside au Havre, ville qu’il aime de plus en plus en dépit du portrait pas toujours flatteur qu’il en brosse. En 2012, il publie Moi et ce diable de blues ; thriller hallucinatoire

coécrit avec Richard Tabbi et béni par Dionnet l’enfant du rock & du métal hurlant. Même les extincteurs rêvent de gloire est son premier livre en solo.

autofiction, 13×21,  pages 272
Illustré à la mine graphite par Portraits Katia L.B.
ISBN 978-2-36907-075-7
prix 17 €
Sortie 30 juin 2020

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A PROPOS DE "MÊME LES EXTINCTEURS RÊVENT DE GLOIRE"

 

Arthur Zingaro signe un roman mettant en scène son propre personnage vindicatif refusant les diktats de la société normée.

MEDIAPART

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Il dit ce qui normalement ne se dit pas, dans une langue nouvelle, personnelle, explosive.

20 MINUTES

 

On le voit : on a des appétences pour le grotesque, comme chez Hugo et Rostand, mais c'est une farce à la sauce chomdu' des années 2000... une langue qui sait jouer avec les mots, comme autant de dérapages poétiques.

[OBSKÜRE] MAG

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Ses figures tutélaires sont John Fante, Raymond Carver ou Charles Bukowski, mais on a parfois l’étrange sentiment de voir Tony Soprano, face pathétique, qui s’inviterait dans un film des frères Coen aussitôt réexaminé par Quentin Dupieux.

LE MAG DU CINÉ

 

C'est surtout une leçon d'écriture, dont le style a des accents de Louis-Ferdinand Céline et de Boris Vian avec des échappées truculentes, fantastiques, poétiques et bien souvent irrésistibles.

L'EST-ÉCLAIR

 

Zingaro, c’est un peu comme si Dounovetz, Bukowski, Thiéfaine et Prévert avaient copulé ensemble sous alcool, ou autres substances illicites, et avaient eu un rejeton maudit ensemble.

ZONELIVRE (Stanislas Petrosky)

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Ici, une des 10 illustrations de ©Katia L.B. que compte le livre.
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